TIENS TA DROITE!
En écho aux réflexions du « Parisien », sur la puissance des logiques d'induction en œuvre dans les mécaniques amoureuses, ça vaut mieux qu'un beau discours Je tombe bien, d'autant plus qu'il ne me semble pas autorisé à articuler plus de trois mots,
« JE »(1) : THÈME(2) MAMAN(3), chic maux compte double avec PAPA(1) TU(2) HAIS(3) LE(4) PLUS(5) FORT(6), je gagne éventuellement le droit d'être doué au Scrabble® , bonjour la récolte des points, adieu la collecte des scores. Amis des mémoires transgénérationnelles, bonsoir. Repérer un faux-ami c'est encore avoir eu l'occasion d'élucider le faux-self, méfiez-vous des sourires du fauve à lunettes, il en pince pour son porte-feuille d'actions. Il vise à l'économie, ne parlons pas d'écologie. Il vous donne le sentiment de vous être enflammée, pas d'inquiétude, l'infection est d'origine virale. Seul un nid à poussière peut accueillir l'angine sans avoir à se préoccuper de l'alerte. Piqûre de rappel, en l'absence de terrain fertile pas de perspective de prolifération. De quoi garder l'espoir de ne jamais désespérer de voir maintenir ses efforts. « Waouh, annonce-t-il de tête, ça va coûter une blinde ce projet ! ». Effectivement. L'essentiel, c'est d'avoir été prévenue. Informé, le corps sollicite ses défenses immunitaires en vue de neutraliser et d'évacuer in fine les agressions provenant de l'extérieur, le stress oxydatif provoqué par l'organisme désigne un déséquilibre entre le dehors et le dedans, une défaillance organisationnelle dont nous ne détenons pas pour l'heure la propriété exclusive, sans cela nous ne saurions à cet instant être « en lien ». En somme, la situation aussi cocasse soit-elle nous offre l'opportunité de procéder à une ré-organisation des fonctions neuro-transmitives et cognitives de l'appareil psychique. Pas de régulation sans dé-régulation.
Le besoin de plaire, conjugué à l'absence manifeste de preuves commémoratives dés-inscrites au répertoire du tangible, condamne l'endormi à adopter une attitude défensive face à son pourvoyeur providentiel, veillons à ce que cela tienne du hasard, croyons en la rencontre fortuite, la tâche est d'ampleur. Le cerveau d'un enfant de 4 ans (pour ainsi dire, le commun des mortels), ne comprends pas la négation. « Je ne veux pas souffrir, je ne veux pas me retrouver dans la même situation, comme la dernière fois ». C'est comme si c'était fait. Mes désirs sont des ordres (désordres). Évitant d'accoutumée d'en faire grand état, je me retrouve en position de victime, dans une attitude contraire à la vie, si ce n'est à « l'avis ». Je préfère ignorer le sujet, Je fais « comme pour Moi ». Je résiste, aux émanations, à l'intelligence émotionnelle de mon interlocuteur, cette fois j'aurais le dernier mot, je ne veux pas encore me faire « avoir ». Monsieur est servi. Mobilisé à lutter contre les influences extérieures, mon encodage me déterminant imperceptiblement (mon discernement exilé au vestiaire de l'inconscient collectif) à les juger « imposantes » voire « dévorantes » par défaut, par nature ne pouvant en contenir plus d'un(e), je me dissocie de mon expérience psychomotrice et me prive de la moindre chance de parvenir à une approche complète de ma condition humaine. Partant de ce postulat, en illustration d'une dynamique relationnelle mortifère, ma perception de la réalité est biaisée sinon déjà erronée, pour autant l'affection haha est bien réelle. Désodorisée au spray Zen saveur fleur de Cocotier Asie des Iles, Miam-Miam, ça reste dégueu mais Je ne peux pas faire le difficile, tant que le packaging a de la gueule Je peux encore entretenir le luxe de me voiler la face. L'urgence, à porter un masque, ma peau Je m'en occuperai deux mains. Mes hantises reléguée à des caprices de star, l'Homme n'ayant à priori plus d'ennemi naturel, Je n'ai plus qu'à associer l'ogresse à l'allégresse, le point de départ , le premier croisement à l'origine de ma grille de lecture, l'ancrage de mes superstitions, je crains terriblement de redouter d'avoir à redoubler d'inquiétude vis à vis de la peur de mon objet. À me housser (jolie poupée!) Je vais figurativement (figure-hâtive-ment) devoir contrôler mon épouvante (émoi mes mérites), auprès de figurants (défigurant), cyprès de toi mon Dieu et sans maudire (mot-dire), lui tendre mon cher et tendre, bâton d'hébergé. (par don, je suis enrhubé...) Entendons nous bien, à mon « mentons » tu as besoin de soutien (de sous...tiens!)... Dissonance (son anse), ça hurle dans le gesticule, arrête, de vestibuler !
L'impuissant babille du regard, il attend, c'est son seul revient,
Le puissant manie le Verbe, s'y entend, aux signes du destin,
Le crétin désalpe, aux premières lueurs désape, réduit au chagrin,
Encourir en dernier, le risque de perdre,
La face, pour le pantin,
La place, du fantassin,
La trace, je suis le chemin,
La classe, on en est certain.
Ouvrir en fumier, la voie des emmerdes, Je bois la tasse, on est serein.
Il n'y a pas d'amour sans histoires, l'aigreur, d'être un lutin,
Sauver la caverne, des assassins.
Une conduite ferme, désobligée, la lente et rassurante discorde des amants maudits,
Vous préférez mourir à petit feu on me dit,
Rien que Je n'ai encore pas compris, je compatis ?
Aimons efficace. Maintenir la posture, c'est laisser les autres libres, les inviter à découvrir leurs options et à se saisir de leurs outils, leur permettre d'ouvrir par eux même des portes de l'Esprit jusque là laissées à l'abandon.
PERSONNE N'EST CONDAMNÉ À JAMAIS